La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1535)

Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1534) -

Chapitre 10 : Accompagnement particulier ! –

Plus que jamais je me sentais une chose, un objet, un outil, un machin, un esclave sexuel…. Pourquoi m’avait-on stocké ici, alors que je m’attendais à quitter le Château au plus vite avec cette femme que je devais appeler désormais Madame Alice ? – ordre donné par le Maître avant de le quitter. Ce plug placé par Walter, à ma sortie du bureau de Monsieur le Marquis, bien arrimé au fond de mon cul me maintenait en transe. Il vibrait régulièrement de façon aléatoire, tantôt timidement, tantôt énergiquement. Lorsque les pulsations augmentaient, je devais me tenir aux barreaux de la cellule en me cambrant exagérément et en laissant échapper de longs gémissements totalement incontrôlables. Alors, je fermais les yeux, tentais de commander à mon corps de résister, en attendant que des vagues plus douces arrivent. Au bout d’un certain temps, toujours harcelé par cet objet vibrant en mes entrailles, je m’affalais au sol en haletant et en percevant que le bourdonnement dans mes oreilles. Je tremblais de tout mon être, sans plus aucune lucidité, mon esprit totalement accaparé par ces sensations vibratoires douces et terribles à la fois, mais ô combien excitantes, me rappelant à chaque seconde ce que je suis…

- Alors Mon chien, tu sembles bien agité, est-ce de l’égarement ou de la surexcitation ?

Je n’avais pas entendu arriver Monsieur le Marquis. Il était là, devant moi, immédiatement je rampais jusqu’à Ses pieds pour lui manifester mon adhésion, ou lui réclamer pénitence et absolution :

- Je vous remercie sincèrement de m’éduquer comme Vous le faites, Maître !

Peut-être venais-je de Le surprendre ? Il restait impassible, sans voix ! Moi, le cul en feu, j’attendais, affalé à Ses pieds, ne pouvant contrôler quelques soubresauts liés à cet engin inquisitoire qui me labourait et ramonait mon cul.

Il me laissait mijoter, ruminer. Prenait-il plaisir à me regarder ainsi, nu au sol, bras et jambes en croix, humble et révérencieux, comme dans l’incantation, l’imploration ou la supplication ?

- Enfile ceci salope, c’est moi qui t’emmène chez Madame Alice et Monsieur Jean.

Le Châtelain laissait tomber au sol un vieux jeans étroit et déchiré au niveau du genou droit, un gros pullover, une paire de chaussettes et des chaussures hautes, je m’habillais rapidement, alors qu’il m’ôtait mon collier de cuir pour le remplacer par une lourde et courte chaine qu’il bouclait avec un cadenas. Affublé de ces vêtements sans forme, avec cette chaine bien visible autour de mon cou, avec cette protubérance sous la braguette du pantalon due à cette cage de chasteté, moi qui portais toujours des vêtements propres et à la mode, là, je ne ressemblais à rien… Quand je souhaitais m’exprimer oralement, le Maître m’avait exigé de demander la parole en joignant mes mains bien à plat l’une contre l’autre comme pour prier, ce que je fis, souhaitant poser une question :

- Quoi ?
- Maitre, vais-je devoir sortir ainsi vêtu ?
- Tu veux sortir à poil ?
- Non Maître
- Alors évite de poser des questions idiotes, petite salope.

Le Noble était inflexible et déterminé, je devais abandonner, renoncer, ne plus réfléchir pour seulement accepter le conditionnement dicté, pas simple pour moi ! Je n’étais pas fier, mon égo en prenait un coup. Je gambergeais et échafaudais divers scénarii tout en remontant les marches vers l’extérieur. Je rageais, m’en voulais ! Pourquoi me posais-je encore toutes ces questions, alors que je n’avais plus qu’à obéir ? Installé dans la grosse berline allemande du Maitre, ceinture bouclée, assis à Ses côtés, je devais me tenir cuisses écartées, mains sur les genoux, ne pas bouger et me taire, la tête constamment baissée. Je restais sagement ainsi, en regardant mes pieds. Je laissais mon esprit divagué, assis et empalé sur le plug et j’en ressentais toujours ces vibrations plus douces désormais, obligeant toutefois mon anus à se contracter régulièrement, irradiant mon rectum dilaté.
Parfois, je me laissais aller à un gémissement de bien-être, en pensant que j’avais besoin de tout ça pour assouvir mes sens. Mon être tout entier était encore accaparé par ces extraordinaires et exceptionnelles sensations, j’en tremblais de désirs, je vibrais de l’intérieur alors que je frissonnais de la tête aux pieds. Mon sexe semi érigé car prisonnier, me rappelait mon nouveau conditionnement et monopolisait mes pensées. A tel point que je n’avais pas vu que nous avions quitté l’autoroute, que le véhicule était arrêté, au milieu de nulle part, sur un chemin de terre, à proximité d’un bosquet.

- Descends de la voiture, ma chienne !

Lui aussi venait de descendre. Il me tirait par la chaine autour de mon cou et m’entrainait ainsi jusqu’à la futaie.

- A poil, là, de suite !

Cet ordre était pour le moins concis ! Il ne laissait place à aucun commentaire, ni même à la moindre hésitation de ma part. Je me dessapais sans embarras pourtant jamais je m’étais mis nu en extérieur. Lui tirait sur ma chaine, courbé, cuisses écartées, je me laissais fouiller l’anus. Il ôtait le plug.

- Ton cul de salope à faim, n’est-ce pas ?
- Oui Maître !
- Je le vois palpiter sous Mes caresses, tu es totalement dilaté, tu vois ce que tu es devenu en très peu de temps… Dis-moi ce que tu es !
- Une salope Maître !
- Plus fort !
- Je ne suis qu’une salope Maître !, criais-je
- Oui c’est ça, mais pas n’importe quelle salope, puisque je te possède, puisque tu es à Moi. Tu es Ma pute ! Il te fallait un Maître pour exacerber tes penchants effrénés pour le plaisir sexuel et avant tout pour que tu puisses laisser exprimer sans honte, ni pudeur, ta véritable Nature profonde et servile. Tu n’en doutes plus, n’est-ce-pas ?
- Non Maître

Le Noble souriait, m’humiliait, me rabaissait. Ces stratagèmes psychologiques lui permettaient d’asseoir sans complexe, tout à fait naturellement, Son contrôle, Son autorité, Sa supériorité, Son fort charisme.
Jamais je ne m’étais senti autant vulnérable, je n’éprouvais plus aucune capacité à résister, plus aucune envie à m’opposer. J’obtempérais logiquement lorsqu’Il m’ordonnait de me mettre en levrette dans cette herbe humide. Il ramassait mes vêtements, les pliait et les emballait dans un sac plastique tiré d’une de ses poches.

- Minable et pitoyable, pourtant satisfait d’être dans cette piètre posture, n’est-ce pas ?
- Oui Maître !, balbutiais-je
- Ne bouge pas, reste ainsi salope, cambre mieux tes reins, offre ton cul affamé, on ne sait jamais…

On ne sait jamais…. Où voulait-il en venir ? A quoi devais-je m’attendre ? Monsieur le Marquis décampait, me laissant seul, à la fois excité et terriblement paniqué. J’étais submergé par des peurs incontrôlables, des palpitations, des frisons. J’entendais la portière de la voiture claquer, le moteur du véhicule se mettre en marche. Allait-il me laisser là, nu, au milieu de nulle part ? Affolé, angoissé, je restais pourtant immobile, cul nu en l’air, à attendre quoi ? Qui ? De longues minutes interminables… jusqu’à cet instant….

- Allez debout salope, vient, suis moi… Je voulais juste tester tes capacités à l’obéissance !

Ouf, Monsieur le Marquis était resté à une dizaine de mètres, caché derrière un buisson et Il était revenu me rechercher. Je venais d’avoir la plus belle trouille de ma vie ! Je ne me faisais pas prier, me relevais immédiatement, courais nu derrière Lui, en pleine nature, ne me souciant guère de ceux qui pourraient me voir ainsi. J’étais soulagé, rassuré. Arrivé près de la voiture arrêtée à une cinquantaine de mètres, le Maître me stoppait, me menottait les mains attachées dans le dos, me posait une cagoule opaque sur le visage. Puis, tenu par un bras, il me guidait pour me faire allonger en chien de fusil dans le coffre du véhicule, me posait une couverture sur mon corps nu et servile… Le trajet me semblait terriblement long. Balloté, secoué, paniqué, je manquais d’air, j’étouffais, cogitais… Depuis la lecture de cette lettre, je comprenais ce besoin presque vital de soumission, d’autorité, d’anticonformisme, de déresponsabilisation et de dépersonnalisation ! Le Noble connaissait parfaitement mes besoins de soumission, mes attirances, mes manques, mes appétences en la matière.
Ma mère, mon père étaient-ils comme moi ou avaient-ils produit un être plus encore soumis qu’eux ? Je l’ignorais ! Enfin le moteur de la voiture s’arrêtait. Les minutes s’égrainaient, je restais enfermé dans le coffre du véhicule, à attendre... et cette attente devenait insupportable, voilà peut-être plus d’une heure que j’étais ici sans bouger. Mes membres s’ankylosaient et en plus je grelotais de froid. La couverture avait glissé de mon corps et j’avais toutes les difficultés du monde à la remettre sur moi.

Enfin, enfin... la portière du coffre s’ouvrait. Une main froide me saisissait par un bras pour m’aider à me dégager de ce lieu exigu. Je ne tenais plus debout. Toujours aveuglé, soutenu par cette main ferme, je marchais péniblement sur ces graviers ronds pour entrer dans un lieu surchauffé. Un feu de bois crépitait dans une cheminée. Là, une fois mes mains détachées, je restais un long moment immobile. M’avait-on oublié ?... C’est alors que j’entendais des gémissements de plaisirs, des souffles forts, des succions, des frottements, des vêtements qui tombaient au sol…. Visiblement, on copulait, pas très loin de moi… Cette copulation dura un long moment… Puis j’entendis très distinctement et sans retenue des cris de jouissances, des râles orgasmiques… Puis j’entendis une voix féminine et autoritaire, ainsi je recevais l’ordre de Madame Alice, laquelle je reconnu de suite la voix, de me mettre à quatre pattes, de me cambrer et d’offrir généreusement ma croupe.
- Avance à quatre pattes petite chienne, droit devant, viens jusqu’à moi !

Ne voyant rien, j’avançais timidement, mais un coup de cravache sur mes fesses me faisait réagir. Je me heurtais à un bas de meuble.

- Stop, ne bouge plus !, m’ordonnait le Maître tout en m’ôtant la cagoule de mon visage.

Là, je me retrouvais face à Madame Alice, ou tout au moins face à sa vulve qu’elle massait lentement. Elle était assise dans un fauteuil, jambes très écartées et posées sur les accoudoirs. Elle était totalement nue.

- Tu sais ce qu’il te reste à faire, petite salope !, me disait-elle.

Je savais ce qu’elle attendait de moi, mais je ne pouvais m’y résoudre… Je regardais désespérément le Maître. L’œil sévère, cravache en main, Il s’approchait de moi tranquillement. Je craignais une cinglante fessée. Il n’en fut rien, il m’attrapait d’une main douce sous le menton en me susurrant à l’oreille :

- Va brouter ce minou, va mon bon chien, tu vas voir comme c’est doux, soyeux, délicat, délicieux. Je suis certain que tu vas apprécier !

Doucement, Il approchait mon visage près de ce sexe humide, aux lèvres intimes gonflées…

- C’est bien alexsoumis…, aller…, passe ta langue sur ces lèvres aqueuses, goute ce délicieux nectar, allez, remonte là…, oui ici…, sur ce petit bouton rose et tendu… oui Mon chien…, c’est bien Ma salope, continue…, recommence…, vas-y ! Allez maintenant plaque ta bouche sur cette superbe chatte, insère ta langue…, vas plus profondément…, va collecter sur le bout de celle-ci Ma semence que je viens de déposer dans ce vagin, il y a seulement un instant, c’est un cadeau que je te fais…, un divin cadeau ! Oui, comme ça…, c’est bien Ma pute…, avale Mon jus sacré. Lape bien, allez, continue…, encore… te dis-je !

Cette fois-ci, la main du Maître, plaquée derrière ma nuque me maintenait contre cette vulve gluante. Madame Alice respirait fort, se tortillait quelque peu, un flot de cyprine s’échappait de ce sexe béant. J’avalais avec dégout. Je la sentais au bord de la jouissance, espérais qu’un orgasme l’emporte le plus vite possible pour en finir. Elle, ne semblait pas pressée, elle se laissait porter par de douces sensations, la faisant gémir, se crisper, se détendre. Faute d’expérience, mes lèvres, ma bouche, ma langue dardant l’entrée de son vagin ne l’emportait pas… pas encore ! Je décidais alors de déplacer mes lèvres et ma langue sur son clitoris et lui prodiguais des caresses, en alternant des mouvements lents et parfois vifs, des mouvements de va-et-vient de haut en bas, des mouvements circulaires autour de ce petit bout de chair tendue. C’est ainsi que Madame Alice jouissait, son clitoris se rétractait, les muscles de son vagin se contractaient, son rythme cardiaque augmentait, elle se pâmait et s’abandonnait en me tenant fermement la nuque de ses deux mains, me maintenant la tête contre son intimité.

- C’est bien Mon chien, tu n’as fait qu’accomplir la mission qui est tienne désormais : Donner du plaisir et faire jouir celles et ceux qui te sont Supérieurs. Tu n’es fait que pour ça, rien que pour ça, ainsi tu t’acquittes de tes obligations, ainsi tu en jouis et jouiras mentalement !, me disait le Maitre

Je reprenais mon souffle quelques minutes, le visage couvert et englué de cyprine, le gout du sperme du Maître en bouche, mélangée à la mouille de Madame Alice. J’étais reconnaissant de l’aide apportée par Monsieur le Marquis, tout au long de ce cunnilingus, il m’avait permis de dépasser mes limites, mes peurs, mes craintes, mon aversion pour les femmes. Il me faudrait le remercier, tôt ou tard, mais pour l’heure…

(A suivre…)

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